Après avoir sauvé l'EURO, Draghi se retire en laissant la BCE fragile que n'importe quel autre moment de sa mémoire récente

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Topline: Mario Draghi termine son mandat de huit ans à la Banque centrale européenne vers la fin du mois.

Néanmoins, ses choix ont généralement déclenché une fragilité hors du commun au sein de l'institution.

Les experts estiment que Draghi sera systématiquement associé à son discours sur «tout ce qu'il faut».

Sa politique se conformera à trois mots - «tout ce qu'il faut» - mais alors que le président Mario Draghi s'apprête à quitter son poste à la Banque centrale européenne (BCE), des questions se posent sur la réalisation des politiques stratégiques qu'il a exécutées.

Draghi termine son mandat de huit ans à la BCE vers la fin du mois. Quoi qu'il en soit, ses choix ont généralement déclenché une fragilité hors du commun au sein de l'institution.

La BCE a tenté d'accomplir sa tâche principale - garantir un niveau d'inflation «proche mais inférieur à 2% à moyen terme» à la suite de l'urgence de la dette souveraine de 2011. Simultanément, les difficultés monétaires croissantes, par exemple, le commerce Le différend, le Brexit et des informations de production plus fragiles, ont empilé davantage l'acte institutionnel.

Cela s'est terminé par une nouvelle phase de mesures d'intervention en septembre, qui a incorporé une autre phase d'achat de titres par le gouvernement.

Cela s'est traduit par «une véritable fragilité au sein de la BCE», a déclaré Florian Hense, analyste financier zone euro à la banque Berenberg, dans une note concernant les mesures d'intervention.

"Pour que les plans de la BCE soient convaincants, Christine Lagarde devrait calmer la discussion et, par extension, combler les lacunes lorsqu'elle prendra son nouveau poste de présidente de la BCE en novembre", a déclaré Hense à propos du successeur de Draghi.

Des personnes de l'institution ont fait part de leurs préoccupations quant à la viabilité des mesures de la stratégie tout comme leur échelle. Cela a également préoccupé certains analystes de marché, qui remettent en question les avantages d'un plan lié à l'argent ultra-gratuit.

L'avenir de la zone euro, ce qu'il contient?
L'urgence de la dette souveraine de 2011 a eu un effet durable sur la zone euro, incomplètement en raison des sentiments politiques brisés à l'égard des pays de la zone euro. Bien qu'ils utilisent tous une monnaie similaire et que la stratégie financière s'applique de la même manière, le plan monétaire est une question choisie au niveau national.

Ainsi, lorsque l'urgence a frappé, la zone euro n'avait ni l'efficacité institutionnelle ni l'administration focale pour la gérer.

«Draghi a encouragé la finalisation du système institutionnel européen, qui devrait finalement prendre en considération la maintenabilité de la monnaie unique et de l'entreprise européenne dans sa totalité. Dans tous les cas, les progrès ont été limités », a déclaré Dall'Angelo.

Elle a remarqué que l'association financière, qui prévoit de rendre les grades et la supervision bancaires équivalents sur la zone euro, et l'association des marchés de capitaux, qui espère offrir des sources de financement plus étendues, n'ont pas été finies.

"Alors que Draghi part, l'entreprise européenne perd l'un de ses principaux champions, ce qui rend le travail d'unification du bloc plus difficile", a déclaré Dall'Angelo de Hermes Investment.